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Guerre des Gos 1
   6'40   2024   Claude Ciccolella  ...trailer...

Après la Première guerre mondiale, Paul Valéry disait que les civilisations sont mortelles - mortelles, à cause de la guerre, mortelles peut-être, parce que vivantes et parce que la guerre ferait partie de la nature humaine... Et la paix, ne ferait-elle pas partie de la nature humaine pour que les civilisations vivantes ne se finissent pas en guerre ?

After the First World War, Paul Valéry said that civilizations are mortal - mortal, because of war, mortal perhaps, because they are alive and because war is part of human nature... And wouldn't peace be part of human nature so that living civilizations do not end in war?

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Sous le Désert
   7'17   2023   Claude Ciccolella  ...trailer...

Quatrième volet du traumatisme de catastrophe naturelle : dégradation biologique, physique et chimique, dérèglement climatique, désertification, pauvreté, conflit, nécessité vitale de changement, d'une exploitation agricole durable, pour que notre monde puisse continuer à exister. Mais sommes-nous prêts à ce changement de mode de vie ?

Fourth part of natural disaster trauma: biological, physical and chemical degradation, climate change, desertification, poverty, conflict, vital need for change, of a sustainable agricultural exploitation, so that our world can continue to exist. But are we ready for this lifestyle change?




Quadriptyque 06.02.04.
   28'26   2023   Claude Ciccolella  ...trailer...

Traumatisme de catastrophe naturelle en quatre volets - Sous la Terre - imagerie spectrale volcanique et secousses de guerre - Entre Ciel et Terre - cascade de tornades, narration homodiégétique où seul l'auteur exprime son désir - Sous les Eaux - récit autobiographique, énumération de tsunamis, dévastation incessante, - Sous le Désert - dégradation biologique, physique et chimique et ses conséquences... Mais sommes-nous prêts à un changement de mode de vie pour que notre monde continue à exister ?

Trauma of natural disaster in four parts - Under the Ground - volcanic spectral imagery and tremors of war - Between Heaven and Earth - cascade of tornadoes, homodiegetic narration where only the author expresses his desire - Under Water - autobiographical story, enumeration of tsunamis, incessant devastation, - Under the Desert - biological, physical and chemical degradation, and its consequences... But are we ready for a lifestyle change to keep our world going?




Sous les Eaux
   7'50   2022   Claude Ciccolella  ...trailer...

Le troisième volet du traumatisme de catastrophe naturelle fait ressortir un paradoxe entre la protection de la nature, vitale ! et les destructions cataclysmiques engendrées par les tsunamis. Sur une dévastation incessante, le récit autobiographique et l'énumération de tsunamis s'interpellent à distance.

The third part of the natural disaster trauma brings out a paradox between the protection of nature, vital! and the cataclysmic destruction caused by tsunamis. On an incessant devastation, the autobiographical account and the tsunamis enumeration speak to each other from a distance.




Sous la Terre
   6'29   2022   Claude Ciccolella  ...trailer...

Le traumatisme de catastrophe naturelle est mis en exergue dans ce premier volet par une imagerie spectrale volcanique, une éructation de feu, de fumée et de tremblements, où l’imaginaire de ce phénomène effrayant et l’ambivalence de vie et de mort, auraient pu assurer le bénéfice d'une catharsis. Mais la secousse de citations de guerre, superposées à ce spectacle sidérant, nous plonge dans une intersubjectivité d’émotions telluriques et une enclave à deux langages, celle de l'image et de l’écrit.

The trauma of natural disaster is highlighted in this first part by a volcanic spectral imagery, a belching of fire, smoke and tremors, where the imagination of this frightening phenomenon and the ambivalence of life and death, could have ensure the benefit of catharsis. But the jolt of war quotes, superimposed on this staggering spectacle, plunges us into an intersubjectivity of telluric emotions and an enclave with two languages, that of the image and the written word.




Entre Ciel et Terre
   6'50   2022   Claude Ciccolella  ...trailer...

Ce deuxième volet du traumatisme de catastrophe naturelle débute sur une rêverie de nuages et une paréidolie, qui se transforment en cascade de tornades, pluie diluviennes, orage et grêle, en images de villes et de champs après le cataclysme. A ce phénomène destructeur se superpose une narration écrite et homodiégétique d'un acte sexuel où seul, l'auteur, exprime son désir, sa jouissance et sa vigueur. Au chaud sous son duvet, il nous livre sa fiction, sans réelle évocation de consentement, avec en arrière-fond la dévastation des tornades.

This second part of natural disaster trauma begins with a reverie of clouds and a pareidolia, which are transformed into cascade of tornadoes, torrential rain, storm and hail, and images of cities and fields after the cataclysm. On this destructive phenomenon is superimposed a written and homodiegetic narration of a sexual act where alone, the author, expresses his desire, his enjoyment and his vigor. Warm under his down, he gives us his fiction, without evocation of sexual consent, with the devastation of tornadoes in the background.




Sous les feuilles dorées
   8'50   2021   Claude Ciccolella  ...trailer...

Approche paradoxale, extatique et consumériste de la nature, baignée de prédictions et de visions de 1970 à 2018, et teintée d'humour noir. Musique tirée de Persian Surgery Dervishes de Terry Riley et "Feels Like We Only Go Backwards" de Tame Impala.

Paradoxical, ecstatic and consumerist approach to nature, bathed in predictions and visions from 1970 to 2018, and tinged with black humor. Music from Persian Surgery Dervishes by Terry Riley and "Feels Like We Only Go Backwards" by Tame Impala.




Sous les feuilles
   13'42   2020   Claude Ciccolella  ...trailer...

L'arbre regarda l'homme. L'homme étendit ses bras. L'arbre émettait des sons, des sons qui devenaient des syllabes et des syllabes des mots ; mots qui sortaient de son tronc, de ses branches, de ses racines, de la terre. Un palabre commença entre l'arbre et l'homme, sur le vol des oiseaux, le chant des canards, le sifflement du cygne, le couinement du ragondin. Attiré par la tranquille présence de cet être, l'homme enroula ses bras autour de son tronc. Ce qui lui fit sentir des odeurs jamais ressenties auparavant et de sa mémoire surgirent quelques phrases de la Divine Comédie de Dante. « Si tu romps quelque branche d’un de ces arbres, rompues aussi seront les pensées que tu as. » Lors, avançant un peu la main, je cueillis un petit rameau d’un épais buisson, et le tronc cria : « Pourquoi me mutiles-tu ? » Puis devenu tout noir de sang, il cria de nouveau : « Pourquoi me brises-tu ? N’as-tu aucun sentiment de pitié ? Nous fumes hommes, maintenant nous sommes buissons. Ta main devrait être plus pieuse, eussions-nous des âmes de serpents. » Filmé au Parc Borély, Marseille, février 2020.

The tree looked at the man. The man stretched out his arms. The tree emitted sounds, these sounds became syllables and these syllables words; words which came out of its trunk, its branches, its roots, the earth. A palaver began between the tree and the man, on the flight of birds, the song of the ducks, the whistle of the swan, the squeal of the nutria. Attracted by the quiet presence of this being, the man wrapped his arms around his trunk. What made him smell smells never felt before and from her memory sprang a few sentences from Dante's Divine Comedy. “If you break a branch from one of these trees, your thoughts will also be shattered. Then, stretching out my hand a little, I plucked a little twig from a thick bush, and the trunk cried, "Why are you mutilating me?" Then turned all black with blood, he cried out again, "Why are you breaking me?" Do you have no feeling of pity? We are men, now we are bushes. Your hand should be more pious, if we were souls of serpents. »Shot at Parc Borély, Marseille, February 2020.




Quadriptyque 12.08.02.
   58'   2019   Claude Ciccolella  ...trailer...

Une esthétique épistémologique se nourrissant de paradoxes, de contradictions et d'utopies, où art et concepts scientifiques, entropie, antimatière, théorie des cordes... s'entendraient et se conjugueraient pour développer et composer un monde de questions nouvelles relatives à notre devenir écologique architectural et urbain. Marseille en quatre volets, une nature sauvage à sa périphérie - l'archipel d'Endoume, un monument architectural symbole de ses aspirations - la Marseillaise, l'espace urbain dans un contexte politique spécifique - l'effondrement de deux immeubles causant la morts de huit habitants - une représentation "in memoriam" de cette catastrophe. Les vidéos Décembre, Août et Février constituent l'expérience sensible des propositions scientifiques spéculées et détournées, Novembre la mort obscène vue du ciel.
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Epistemological aesthetics feeding on paradoxes, contradictions and utopias, where art and scientific concepts, entropy, antimatter and string theory... would get along and combine to develop and compose a world of new questions about our architectural, urban and ecological future. Marseille in four parts, the wild nature on its outskirts – the Endoume archipelago, an architectural monument symbolizing its ambitions – the Marseillaise, and its urban space in a specific political context – the collapsing of two buildings in the heart of Marseille – an "in memoriam" representation of this disaster. The videos December, August and February constitute the sensory experience of speculated and distorted scientific proposals, November is obscene death seen from the sky.

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Novembre
   4'54   2019   Claude Ciccolella

Marseille vue du ciel, à la mémoire des huit habitants décédés suite à l'effondrement des deux immeubles en plein coeur de la cité. Dernier volet du Quadriptyque 12.08.02.
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Marseille seen from the sky, in memory of the eight inhabitants who died following the collapse of two buildings in the heart of the city. Last part of the Quadriptych 12.08.02.

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Février
   15'06   2019   Claude Ciccolella  ...trailer...

Perception de la tension de l'espace urbain marseillais, de son volume d'univers en interaction avec le sentiment de perte de repère et de confusion après l'effondrement le 5 novembre 2018 de 2 immeubles et du décès de 8 habitants, de plus de 2600 délogé.e.s pour habitat insalubre. Expérience sensible de la théorie des cordes sur l'espace urbain marseillais dans un journal cinématographique en trois jours. Troisième volet du Quadriptyque 12.08.02.
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Perception of the tension of Marseille's urban space, of its volume of universe interacting with the feeling of the loss and the confusion after the collapse on November 5, 2018 of two buildings and the death of eight inhabitants, more than 2600 dislodged for unhealthy housing. Sensitive experience of string theory on Marseille's urban space in a cinematographic journal in three days. Third part of the Quadriptych 12.08.02.

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Août
   15'41   2019   Claude Ciccolella  ...trailer...

Sur les traces de l'antimatière, jet de lumière dans un tourniquet compulsif de temporalité fractale, rencontre entre l'image et son anti-image et leur désintégration dans un vide sidéral. Confronté à notre désir de repousser les frontières de l'exploration et de la connaissance notre condition humaine est soumise à son épreuve fatale. Expérience sensible de l'antimatière sur la Tour "La Marseillaise" dans un journal cinématographique en quatre jours. Deuxième volet du Quadriptyque 12.08.02.
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On the footsteps of antimatter, light is thrown in a compulsive roundabout of fractal temporality, an encounter between the image and its anti-image and their disintegration in a sidereal vacuum. Confronted with our desire to push back the frontiers of exploration and knowledge, our human condition undergoes a fatal test. A sensory experience of antimatter on the Tower "La Marseillaise" in a four-day-long cinematographic journal. Second part of the Quadriptych 12.08.02.

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Décembre
   21'16   2018   Claude Ciccolella  ...trailer...

La roche tressaute, le champ se déplace, le hors-champ se condense, le bruit déchire l'eau, l'espace se chevauche, noir blanc traces suspendues, envol du jour d'avant. Expérience sensible du phénomène entropique de l'archipel d'Endoume, Marseille, dans un journal cinématographique en cinq jours. Premier volet du Quadriptyque 12.08.02.
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The rock jumps, the field moves, the out-of-field condenses, the sound rips the water, the space overlaps, black white traces suspended, flight of the day before. Sensitive experience of the entropic phenomenon of the archipelago of Endoume, Marseilles, in a cinematographic journal in five days. First part of the Quadriptych 12.08.02.

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Les vampires
   6'04   2017   Claude Ciccolella

Les vampires sont des créatures malfaisantes. Ils dansent comme des sorcières.

Vampires are evil creatures. They dance like witches.




Le pont
   7'31   2017   Claude Ciccolella

Ils dansèrent sous le pont.

They have danced under the bridge.




Le marécage
   5'39   2017   Claude Ciccolella

Dans le marécage on s'aime puis on se quitte...

In the marsh we love each other and then we leave ...




La piscine
   7'07   2017   Claude Ciccolella

Elles nagent voluptueusement dans des eaux où se fraie un terrible requin.

They voluptuously swim in water where a terrible shark pave the way.




La forêt d'argent
   6'35   2017   Claude Ciccolella

Des personnages mythiques se cachent dans cette forêt. Parés d'attributs ils surgissent d'entre les temps et en esprit malin honorent ce bosquet argenté. Leurs apparitions sont fugaces, feux follets sautant sur les notes d'une comptine. Et sous nos yeux se lisent des fragments d'histoire, une histoire sans mots qui se glisse de mémoire en mémoire, du jour à la nuit, de l'enfance vers l'être. Chacune de ces créatures a un message, un message voilé de timidité. Nous restons sur notre fin et cela est sans fin. Avec : Karine Papin, Laure Dottori Vallot, Sandra Tittoni, Virginie Garrido, Guy Leonardi, Hervé Lioger

Mythical characters are hiding in this forest. Adorned with attributes they arise from the times and in a clever spirit honor this silvery grove. Their appearances are fleeting, will-o'-the-wisps jumping on the notes of a nursery rhyme. And before our eyes are read fragments of history, a story without words that slips from memory to memory, from day to night, from childhood to being. Each of these creatures has a message, a veiled message of shyness. We remain on our end and this is endless.




L'oliveraie
   5'16   2017   Claude Ciccolella

Un harmonica qui ne sait plus où donner de la tête.

A harmonica that no longer knows where to go.




le petit chat est mort
   6'06   2014   Claude Ciccolella

Une vidéo sur la première guerre mondiale et ses atrocités. La trame du film est construite sur l’utilisation du found-footage : images de « gueules cassées » et images reconstituant les combats sur la ligne de front. Un film oscillant entre le document historique et la fiction personnelle.

A video about the First World War and its atrocities. The plot of the film is built on the use of found-footage: images of « broken faces » and images recreating the fighting on the front line. A film oscillating between historical document and personal fiction film.




Nous irons tous à Venise.
   17'10   2010   Claude Ciccolella & Ange Rosa Berr

Cette année-là se finira en beauté. Nos amis nous invitent à les accompagner dans la plus romantique des villes. Où irons-nous ? à Venise.

This year will end in beauty. Our friends invited us to accompany them in the most romantic city. Where shall we go? in Venice.




Il faut être de bonne humeur pour rigoler avec Cioran
   16'39   2006   Claude Ciccolella & Mike Reveau Peiffer

Pérégrination déambulatoire d’un Candide contemporain dans différents lieux de Marseille, jeu muet, actions décalées et burlesques. L’image est accompagnée en voix-off par un texte déroutant, une poésie jubilatoire des mots, faite d’incongruité, d’ironie et d’espièglerie. Univers sonore : Jean-Christophe Defer - Moyen de production sonore : Nom Sensa Voal, avec : Mike Reveau Peiffer

Ambulatory peregrination of an Ingenuous contemporary in various places of Marseilles, dumb play, shifted and burlesques actions. The image is accompanied in voice off by a diverting text, a poetry jubilatoire words, is made incongruity, of irony and espieglery. Sound record : Jean-Christophe Defer - Moyen de production sonore : Nom Sensa Voal, with : Mike Reveau Peiffer





Bus pour l’Europe
   13'56   2005   Claude Ciccolella & Éric Brunel

Vidéo en trois parties : "Télégants Parody", "Flux Tendus", "Torticolis" en co-production Cie Equivog Théâtre d’Aventure. Trois façons de jouer avec les images : la première avec celles du petit écran, la deuxième avec celles trouvées sur le réseau (routier et internet), la troisième traite du portrait et nous renvoit à la mémoire, individuelle et collective. Cette vidéo est conçue pour intégrer le projet théâtral Bus pour l’Europe de la Cie Equivog Théâtre d’Aventure.

Video in three parts : "Télégants Parody", "Flux tendus", Torticoli". Co-production Cie Equivog Théâtre d’Aventure.




La sardine à l’huile
   4'55   2004   Claude Ciccolella

Clip réalisé à partir du film du concert de Belladonna 9CH au LAM - Marseille. Texte et musique de la chanson "La sardine à l'huile" Agnès Royon Lemée & Michèle Coudriou.

Clip realized starting from the concert's video of Belladona 9ch, filmed at the Lam (Marseilles). Text and music of the song "La sardine à l'huile" by Agnès Royon Lemée & Michèle Coudriou.




Revolution F
   14'   2003   Claude Ciccolella

Là où le monde réel se change en simples images, l'image simple se joue en être réel. Détournement d'œuvres cinématographiques sur un sujet historique et philosophe, la Révolution Française. Un extrait de 8' fait partie du spectacle historique de André Neyton Barras, le Vicomte à l'ail. Remerciements : Hélène Bez, Fabrice Strambi, Emmanuel Vigne

Where the real world changes into simple images, the simple image is played to be real for it; diversion of cinematographic works, on an historically and philosophically subject: the French Revolution. Thanks : Hélène Bez, Fabrice Strambi, Emmanuel Vigne




Ville Matière N°4 M
   28'40   2002   Claude Ciccolella

Quand la vie s'étale et se contracte sur une bande sans fin, le "filmant" devient un centre où se déroule la matière ville. Rapport entre perceptif et mouvement. Remerciements : Hélène Bez, Fabrice Strambi

When the life is spread out and contracted on an endless film , the "filming it" becomes a center where the matter city is held. Relationship between perceptive and movement. Thanks to Helene Bez, Fabrice Strambi.




THELINE
   4'   2002   Claude Ciccolella

Une vidéo viscérale dénonçant l’implacable mécanique de la destruction et le spectacle de l’avilissement des masses, face aux regards des baisers, de l’enfance, des Hommes dans ce qu’ils ont de plus généreux, la solidarité et la fraternité. "Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne." art.3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Une réalisation pour la Cie Sur le Chemin des Collines qui monta la pièce Le Premier de Israël Horovitz, en 2002. Remerciements : Hélène Bez, Fabrice Strambi, Isabelle Schneider, Emmanuel Vigne, David Gauthier.

A visceral video denouncing the mechanical relentless of the destruction and the spectacle of the depreciation of the masses, vis-a-vis in comparison with the kisses, the childhood, the Humans in what they have of more generous: the solidarity and the fraternity. "Everyone has the right to life, liberty and security of person." art.3 of the Universal Declaration of the Humans Rights. Remerciements : Hélène Bez, Fabrice Strambi, Isabelle Schneider, Emmanuel Vigne, David Gauthier.




Meta-Morphoses
   90'   2002   Claude Ciccolella

Transformation jusqu’à ébullition de 5' de la vidéo du concert des Belladonna 9CH à la Luna Loca (Toulouse). Texte et musique : Agnès Royon Lemée et Michèle Coudriou (sauf Shomele, trad.yiddish). Les chansons des Belladonna 9CH : Belladonna, Far & Gray, Acqua in bocca, Shomele, Labyrinthe, Frissons, Cérémonie, La Comète, Échec et satin, Baby lady, Faim de vous, Longing, Désert, Les nuits de Marseille, Choc, Salima, Labytech, Simone, Morsures, Messages. Remerciements : Hélène Bez

Transformation until boiling from 5' of the concert video, Belladonna9ch at “Luna Loca” (Toulouse). Text and music : Agnès Royon Lemée et Michèle Coudriou (sauf Shomele, trad.yiddish). Songs of Belladonna 9CH : Belladonna, Far & Gray, Acqua in bocca, Shomele, Labyrinthe, Frissons, Cérémonie, La Comète, Échec et satin, Baby lady, Faim de vous, Longing, Désert, Les nuits de Marseille, Choc, Salima, Labytech, Simone, Morsures, Messages. Thanks : Hélène Bez




Ville Matière N°1 M
   35'55   2001   Claude Ciccolella

Grouillement et mouvement de foule dans trois lieux marseillais, la Plaine, le Vieux-Port et St Ferréol (Marseille)... Musique : Ian Harris, danse : Julia Poggi.

Swarming and movment of the crowd in three areas in marseilles, la Plaine, le Vieux-Port and St Ferréol (Marseille)... Music : Ian Harris, dance : Julia Poggi.




Les poissons font des bulles
   7'40   2001   Claude Ciccolella

La matière électronique est-elle africaine, occidentale ou orientale ?
avec : Hélène Bez, les poissons colorés de Ian Harris, Claude Ciccolella

Is the electronic substance african, occidental or oriental ?
with Hélène Bez, the colored fishes of Ian Harris, Claude Ciccolella.




Flux
   58'56   2001   Claude Ciccolella

Images fuyantes, vibrations de couleurs, fond pixellisé, lignes de réseaux, kaléidoscope, spectre et cercle chromatique... Danse Julia Poggi.

Elusive images, vibration of colors, background bipmapped, lines of networks, kaleidoscope, spectrum and chromatic circle... Dance Julia Poggi.




XYZ
   5'23   2000   Claude Ciccolella

Surface du temps et ses profondeurs de l'image immédiate à l'image révélée ; corps détresse et éclaté qui se sépare de sa chair, exploration iconique, envol, réintégration en le corps, sueur, matière, couleur. Il s'enroule et se déroule dans une danse de visages ; dilatation, traces ... Musique : Jean-Christophe Defer, avec : Thomas Langlet, Sandra Tittoni, Jean-Christophe Defer, Hélène Bez

Surface of time and its depths from action film to developped images; body disfigured and splintered which breaks away from its carnality, iconic exploration, fly's away, reintegration into the body, sweat, substance, colour. He folds and unfolds in front of faces dancing; distention, traces... Music : Jean-Christophe Defer, with : Thomas Langlet, Sandra Tittoni, Jean-Christophe Defer, Hélène Bez




MC
   1'53   2000   Claude Ciccolella

Le petit canard va-t-il être mangé par le gros Donald ou devenir un cygne ?
Remerciements : Reine Navarette, Hélène Bez

Will the small duck be eaten by the large Donald or will the small duck ?
Thanks Reine Navarette, Hélène Bez




Soleil
   2'40   1999   Claude Ciccolella

La danse du masculin/féminin se termine dans un meurtre, meurtre du temps dans le reflet du miroir... Avec Julia Poggi, Mireille Vassiliades, musique, texte : Julia Poggi, arrangement : Ian Harris, caméra : Hélène Bez

The masculin/feminine dance ends in a murder, a time’s murder on a mirror’s reflection... With Julia Poggi, Mireille Vassiliades, music, text : Julia Poggi, arrangement : Ian Harris, camera : Hélène Bez




Fragments de corps dans un monde chaotique
   4'30   1999   Claude Ciccolella

Silence... Silence

Hush... Hush




Écrasons les cerises
   12'01   1999   Claude Ciccolella

Chute, lumière, fuite, mouvements d’ombre, rues, impasse, passage, couloir, feu, serrure, libre déplacement, murs, Malevitch, Klein, 2,1, ..., écrasons les cerises..., 0, Monochrome. Pendant ce voyage, le spectateur est entre ciel et terre, entre Éros et Thanatos, et des événements sonores et chaotiques.

Fall, light, leak, shadows moving, streets, alleyways, way, passage, fire, lock, free-moving, walls, Malevitch, Klein, two, one... crushing the cherries... zero, Monochrom. During this trip, the spectator is between heaven and earth, Eros and Thanatos, and chaotic noise in the background.




 

@ 2024 by Claude Ciccolella